Pendant quelques centaines de mètres, jusqu'à
Troye, la rampe n'est pas encore trop forte
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Dans une grande coube, juste avant la halte
de Troye
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Un peu plus loin après la même
halte
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C'est à partir dici que les grosses difficultés
commencent : le train aborde la rampe de Mordane (nom évocateur
: la légende dit que même les ânes y meurent
d'épuisement !) avant d'entrer dans le tunel du même
nom, en courbe, en rampe et long d'environ 900 m.
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Vu d'en haut, on est un peu loin du train, mais
à cet endroit, c'est la superbe musique de l'échappement
de la locomotive que l'on entend résonner dans les
gorges
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Le pont roulant au dessus de la voie, devant le tunnel permet
de décharger le matériel destiné à
l'usine hydro-electrique située en contrebas. Le train
est d'ailleurs quasiment le seul moyen d'accès à
cette usine.
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Et vers l'arrière, tout va bien, on profite à
fond de la fumée, dans quelques instants, dans le tunnel,
ce sera encore meilleur ;-))))
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Peu après la sortie du tunel, je m'apperçois
que nous sommes suivis :
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En fait, c'est l'autorail du service de la voie, qui suit le
train en marche à vue. Nous l'avons doublé à
l'évitement de la halte de Troye, il va maintenant remonter
derrière le train régulier jusqu'au chantier de
renouvellement de voie qui devait se trouver ce jour là
peu après la halte de Clauzel.
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Justement, la halte de Clauzel, la voici :
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Le train vu d'en haut, un peu après Clauzel
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Enfin nous arrivons au passage des étroits.
Le pont des étroits est un pont routier, qui enjambe
à la fois la voie et la rivière.
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J'étais encore en retard ;-) je n'ai
pu "saisir" le train que juste après son passage
sous le pont.
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